Aubergines rôties à la sauce tarator

Préparation 50 min
Cuisson 30 min
Ingrédients pour 4 personnes
Salade de pois chiche :- Pois chiche : 100 g
- Oignon jeune : 80 g
- Huile d’olive : 5 cl
- Paprika : 5 g
- Cumin moulu : 5 g
- Sel : 5 g
- Poivre du moulin : 3 tours
- Coriandre : ½ botte
- Menthe : ½ botte
- Graine de sésame : 5 g
Aubergines rôties:
- Aubergine : 450 g
- Huile d’olive : 10 cl
- Fleur de sel : 3 g
- Poivre du moulin : 3 tours
- Paprika : 5 g
- Cumin moulu : 5 g
Sauce Tarator :
- Ail : 2 gousses
- Sel : 5 g
- Citron jaune : 1 pièce
- Crème de sésame : 150 g
- Eau : 10 cl
Préparation
1/Les aubergines rôties :
- Préchauffer le four à 220 °C.
- Mélanger l’huile d’olive, le sel, le poivre, le cumin et le paprika pour faire une marinade.
- Couper les aubergines en deux dans la longueur, sans les éplucher, les quadriller dans leur chair avec un couteau d’office.
- Les badigeonner avec la marinade et enfourner 30 minutes à 220 °C.
2/ La sauce Tarador :
- Éplucher l'ail, le dégermer et le hacher finement.
- Mettre l'ail et le sel dans un mortier en bois et piler vigoureusement de manière à obtenir une purée très fine.
- Presser le citron, l'ajouter à l'ail pilé et bien mélanger.
- Ajouter la crème de sésame et bien mélanger.
- Ajouter ensuite l'eau petit à petit jusqu'à ce que le mélange soit fluide.
3/ La salade de pois chiche :
- Ciseler l’oignon jeune (le vert et le blanc).
- Le mélanger avec les pois chiches bien égouttés, l’huile d’olive, le paprika, le cumin moulu, le sel et le poivre.
- Ciseler la coriandre et la menthe, les ajouter au mélange ainsi que les graines de sésame.
4/ Le dressage :
- Arroser les aubergines de la sauce Tarator et verser deux bonnes cuillères de salade de pois chiche.
Info en Puls’ :
Grâce à leur richesse en fibres et en protéines les légumes secs apportent un sentiment de satiété et évitent le grignotage !
Signature
Une recette du chef Fabrice Mignot.
Nos astuces et infos

Pois : une vraie boule d'énergie
Comme beaucoup de légumineuses, le pois a été domestiqué lors de la préhistoire au Proche-Orient. Produit de tous les jours s'il en est, il s'offre une double vie dans nos assiettes : cueilli jeune, c'est le petit pois ; à maturité, le pois cassé. Et triple si l'on considère les débouchés en alimentation animale, pour les pois très mûrs. Enfin, autonome en azote, cette plante ne demande pas d'engrais azotés. Dans les rotations de culture, elle est un très bon précédent au colza et au blé.